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Avec des si on referait bien le monde

5 octets supprimés, 30 novembre 2018 à 09:00
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* par le visuel
* par le sensible
* par le rapport aux émotionémotions
* par l’écriture poétique
Sachant que nous avons pour cible les personnes '''nées avant 1973''', nous voudrions travailler sur le sentiment de '''nostalgie''', en mettant en contrastes contraste des '''paysages''' tels qu’ils l’étaient avant avec ce qu’ils sont devenus où ce que nous pensons qu’ils sont devenus, afin de faire prendre consciences des changements environnementaux opérés. '''Une nature naturelle contre une nature artificielle ?'''
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'''Idée 1 ''': Venir apposer en surimpression (riso) des trames ou autres objets graphiques sur des photos de paysages anciens, pour signifier des changements environnementaux. Permettre aux usagers, avec un filtre coloré, de voir les images avec ou sans les ajouts graphiques, c’est-à-dire avec ou sans les modifications environnementales.
Inspirations : Bonjour au revoir, de Delphine Chedru, & L’Enfant chasseur, de Adrien Parlange.
'''Idée 2''' : Venir superposer des calques (ou autres feuilles transparentes) sur les photos, afin de permettre aux usagers de venir eux-même intervenir sur celles-ci, de montrer leur vision des changement dû à l’Homme, et de venir la confronter et l’ajouter à celle des autres (enjeu de mémoire collective, d’imaginaire collectif). La reliure (modulaire) permettrait d’ajouter, de retirer, de déplacer les feuilles de calques, afin que l’objet puisse être prêté, passé de main en main, approprié par chacun.
'''Pour chacune de ces deux idées''' : Le texte serait moins présent que dans son alternative passive (puisque l’usager doit s’approprier l’objet et non suivre une narration), mais il serait tout de même présent via une forme de consignes poétiques, placées par exemple sur des encarts de plus petit format.
Les deux idées pourraient également être combinées (certaines pages nécessitant les filtres colorés, certaines autres étant ouverte ouvertes à l’interprétation de chacun grâce aux calques).
'''Questionnements :''' Dans quelle dimension géographique doivent venir s’inscrire les photographies, les paysages ? Dans une dimension locale, autour du fablab, afin que tous puissent y participer ? Dans une dimension imaginaire, prendre des paysages méconnus mais venir imaginer ce à quoi ils ressemblent aujourd’hui ?
Après avoir montré ce prototype à nos encadrants, ceux-ci nous ont aiguillé vers la réalisation non pas d’un livre contenant plusieurs photographies, mais de '''plusieurs volumes contenant chacun une seule photographie et des calques''' pour venir y apposer son interprétation de '''l'évolution du paysage'''. Ces calques viendraient se superposer, effacer par l’épaisseur des calques l’image originelle, créer de nouveaux paysages.. Les différents volumes seraient-eux réunis dans un coffret, une boite, ou par un autre moyen.
Ils nous ont également fait remarqué remarquer qu’il faudrait '''questionner le titre''' de notre travail et les consignes, afin de toucher les usagers, de le leur faire comprendre clairement où nous voulons en venir et où nous souhaitons les emmener, tout en s’inscrivant totalement dans le thème du workshop, à savoir l’anthropocène. (par exemple : What if …? pour stimuler l’imagination et l’extrapolation)
Nous avons donc décider décidé de se nous concentrer sur la réalisation de '''3 volumes''' : un autour de la '''montagne''', un autour de la '''mer''', et un autour de la '''campagne''' (trois types de paysages familiers des français). Nous avons sélectionné une photographie pour chaque thème.Notre idée serait d’'''associer une couleur d’encre de risographie à chaque thème''', à chaque volume, en créant des contrastes avec les associations que l’on ferait instinctivement : orange pour la montagne, bleu pour la campagne et et bordeaux pour la mer. Nous avons également fait un premier test d’impression en risographie orange de la photographie de la montagneen risographie orange.
Nous voudrions également inscrire sur chaque calque les termes « Et si » afin de permettre à chacun d’écrire, de dessiner, de '''titrer leur prédiction et leur interprétation de l’évolution du paysage'''.
A partir de cela, nous souhaiterions nommer avons nommé notre travail '''« Avec des si, on referait bien le monde »''', titre qui résume cet amas d’interprétations différentes mais aussi la position de l’Homme face au réchauffement climatique et à l’anthropocène.
Dans chaque volume, nous souhaiterions insérer une '''carte postale''' avec notre nos propres interventions graphiques sur la photographie du volume, afin de monter notre interprétation et un exemple de ce qui pourrait être fait. Serait aussi présent dans chaque volume , un '''pochoir''' réalisé en découpe laser pour guider et donner des idées graphiques aux usagers (pochoir qu’il ne serait bien sûr pas obligé d’utiliser).
Nous avons également, lors de cette journée, testé la '''découpe laser sur carton gris''', afin de voir quels paramètres nous devront choisir pour graver ce carton gris (en guise de couverture).
Nous avons ensuite tracer tracé sur papier calque les grandes lignes de nos trois photographies puis reporté ces tracés sur '''inkscape''' afin de pouvoir dans un second temps graver nos couvertures.
<small>« ''Avec des si, on pourrait bien refaire le monde.
A À l’ère où les paysages qui nous ont vu grandir se trouvent en pleine transformation,
à l’ère où nos empruntes s’unissent et recouvrent celle de nos racines, et si tout commençait ici ?
====Jour 3 : Ajustements créatifs et début de la production====
En ce début de troisième journée, nous avons commencé à imprimer nos photographies en '''risographie''', le tout nécessitant beaucoup de calages pour réaliser les masters de chaque photosphoto, et des changements réguliers de tambours (un pour chaque encre). Nous avons également risographié « Et si... » sur calques en trois différentes couleurs (correspondant aux couleurs des photographies).
Ces impressions ont aussi entraîné beaucoup de '''découpage''' (tâche fastidieuse) : les impressions se faisant sur papier A4, il fallait ensuite mettre les pages au format des livres, soit 14 cm de hauteur sur 18 cm de hauteur, et ce pour plus de 150 feuilles A4.
En parallèle, nous avons réalisé plusieurs tentatives pour graver et découper nos couvertures avec la '''découpe laser'''. Aucun des premiers essais n’a été concluant mais ils ont permis de déceler des erreurs dans les fichiers, erreurs qui ont pu être réparées. Il a donc fallu bon nombre d’ajustements (et des planches de carton gris supplémentaires), pour obtenir en fin de journée les couvertures gravée et découpées au format.
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