Gravure d'une carte sur une planche de bois (raster) : Différence entre versions

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|description=Gravure d'une carte sur bois
 
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Version du 7 septembre 2017 à 13:39


Gravure d'une carte sur bois

Part.png

Contributeur·ice·s

Statut du projet

Experimental

Statut de la publication

Brouillon

License

CC-by-sa-3.0 - Creative Commons Attribution CC-by-sa-3.0 France

Inspiration

Adorant la géographie et les mondes créés par Tolkien, je me suis dit qu'une carte gravée sur une planche de bois donnerait un rendu "ancien" très intéressant. Je bénéficie de l'aide de Vincent qui maitrise le mode raster bien mieux que moi.

Fichiers source

Matériaux

Lien




Prenant une planche de bois déjà utilisée par des essais du mode raster, je décide de mettre ce projet en place, qui me permettra de découvrir cette autre fonction de la découpeuse laser. Comme je ne la maitrise pas, je demande son aide à Vincent.

Parti sur la vectorisation, Vincent m’a fait découvrir une fonction de gravure que je ne connaissais pas : le raster. Cette fonction permet de graver un matériau de manière différente. Au lieu de graver le long de certains vecteurs, le laser va balayer chaque ligne et ne graver que là où il y a de la “couleur” (en fait des niveaux de gris/noir). Cette méthode est donc plus adaptée pour la gravure d’une carte (contrairement aux vecteurs qui seront eux plus adaptés pour des dessins).

Je prépare et recoupe le fichier de la carte et la redimensionne en 40x27 cm. Je tente de former le gcode (vitesse de 6000, blanc à 0 et noir à 40) mais ne dispose pas de la librairie nécessaire sur mon PC. Je décide donc de faire le transfert sur le PC de la découpeuse laser. On prend une partie seulement de l’image pour effectuer les tests. La plaque de bois utilisée est de 3.3 mm. Nous décidons de fixer la focale très précisément car nous ne comptons pas faire d’aplats (en effet, si l’on est moins précis sur la focale, le laser sera un peu moins précis et fonctionnera par aplats au lieu de point de combustion. Cela peut être utile dans le cas de certains dessins).

Après un premier test infructueux (avec le blanc à 0 et le noir à 40), on stoppe l’impression car la moitié des dessins n’apparait pas. Vincent propose de mettre le blanc à 10% pour que le laser reste allumé sans graver mais soit donc plus puissant sur les parties gravées. Ce deuxième essai est concluant, mais les textes sont un peu trop profonds et nous avons peur de perdre en netteté sur les plus petits. On décide donc de passer en 35% de noir et de reporter la gravure totale pour le lendemain, car elle prendrait trop de temps pour le soir même.

Le lendemain après-midi, je redimensionne une dernière fois la carte avant de lancer l’impression avec les paramètres entrés précédemment. Après quelques problèmes liés à un bug de la machine (un décalage négatif au démarrage du laser, raisons inconnues, solution trouvée en décalant le laser de son point de départ), je copie le gcode sur la carte sd de la découpeuse ! Le transfert est long… Et l’échec est de mise. L’impression est décalée et j’abandonne pour le moment. Vincent me conseille de redimensionner l’image pour la rendre encore plus petite (on passe à du 30x20). Même comme cela, le gcode indique un départ en Y négatif et en X positif. Vincent m’indique qu’il n’a jamais vu un gcode avec ce genre de problème fonctionner de manière satisfaisante et me propose de prendre la carte brute (en jpeg) pour faire des modifs directement dessus et peut-être bypasser les problèmes.

Après un nouvel essai, Vincent a résolu les problèmes, l’impression test se passant bien. En revanche, le PC pour envoyer le gcode final ne détecte plus la carte sd ! Comme il se fait tard et que Laurent doit lancer un calibrage, je lui laisse la place et espère réussir à finalement graver le lendemain…

Encore une fois, affaire à suivre pour le moment.